Un mars fatal
Le tweet de Trump et la réaction initiale (15 mars 2025)
Le 15 mars 2025, à 8h43, l’Amérique est brutalement réveillée. Un tweet de Donald Trump, aussi bref que dévastateur, frappe le pays comme un séisme :
« L’Amérique d’abord ! Taxe de 20 % sur le pétrole mexicain et canadien, immédiat. Fini la dépendance énergétique ! »
Ce n’est pas qu’un slogan. Cette taxe est une attaque économique directe. Le Mexique et le Canada fournissent 30 % du pétrole américain. Couper cette source vitale menace l’économie.
Panique immédiate sur les marchés
Les chaînes d’info passent en direct, les experts s’affolent. Les traders, les yeux rivés sur les écrans, voient les prix grimper : le Brent passe de 100 $ à 130 $ en 48 heures. On craint une pénurie sur un marché déjà tendu.
Une réaction en chaîne
Les effets se font sentir aussitôt. Le Bureau of Labor Statistics (BLS) prévoit une inflation à 7 %. La Fed tente de réagir. À 22h30, Jerome Powell annonce une hausse des taux à 6 % en mai, pour calmer l’inflation sans casser la croissance.
Le chaos financier (17 mars 2025)
L’onde de choc : Le 17 mars, c’est le chaos financier
Krach boursier sans précédent
Le 17 mars, les marchés paniquent : l’argent facile est fini. Le S&P 500 chute de 8 % en un jour, de 6 050 à 5 565 points, à cause des ventes automatiques. Les GAFAM s’effondrent : -20 % en cinq jours. Apple passe de 200 $ à 160 $, Amazon de 180 $ à 144 $, soit 1 500 milliards de dollars perdus.
Capitulation générale
Le mot « capitulation » est sur toutes les lèvres. Les plateformes d’échange sont saturées, les ordres de vente explosent. Le marché crypto tremble. Le Bitcoin, à 110 000 $, chute à 80 000 $ le 18 mars, les spéculateurs vendant dans la panique. Cette chute annonce des problèmes plus graves.
Crise du secteur crypto et failles du système (20 mars 2025)
Effet domino : Le 20 mars, la crise s’étend
Le séisme crypto dévaste le secteur
Le 20 mars, la crise atteint les cryptos. Binance annonce : « Retraits suspendus pour sécurité ». Les forums s’enflamment, #CryptoCrash et #BinanceScam deviennent viraux. Le Bitcoin s’effondre à 50 000 $, perdant 200 milliards de dollars.
Un château de cartes s’écroule
L’effet domino est impitoyable : Coinbase suspend ses opérations, Kraken implose. Le secteur crypto, autrefois symbole de liberté financière, s’écroule. Les prêts risqués des banques américaines, liés à la crypto, sont remis en question.
Les failles du système apparaissent
Cette fragilité révèle les failles des banques, affaiblies par la dérégulation de Trump. Une crise financière majeure se profile, menaçant l’économie mondiale.
Le système craque (25 mars 2025)
Le point de rupture : Le 25 mars, le système craque
Dépréciation massive des actifs toxiques
Le 25 mars, Bank of America, exposée à 150 milliards de dollars sur les 800 milliards de prêts risqués, annonce une forte dépréciation.
Cela concerne :
- Prêts immobiliers (50 milliards de dollars) : 15 % des ménages ont du mal à payer, avec des taux à 7,5 % en vue.
- Prêts aux entreprises tech (60 milliards de dollars) : La chute des GAFAM rend ces prêts inutiles.
- Exposition crypto (40 milliards de dollars) : Les 10 milliards investis dans Binance ne valent plus que 2 milliards après la suspension des retraits.
Répercussions immédiates : 25-26 mars, la panique
Mini-ruée bancaire
L’annonce de Bank of America provoque une ruée. Le 25 mars, des files d’attente se forment devant les banques, les retraits en ligne explosent : plus de 50 milliards de dollars sont retirés en 48 heures. On craint la faillite de la banque.
Intervention d’urgence
La Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) débloque 300 milliards de dollars pour rassurer les clients, garantissant les comptes jusqu’à 250 000 dollars. Mais cela ne couvre qu’une partie des pertes, estimées à 1 200 milliards de dollars, ce qui alimente la panique.
Une spirale infernale
L’effet domino frappe les marchés. Les actions des banques s’effondrent : Bank of America perd 30 % le 25 mars, entraînant Wells Fargo et Citigroup. Le 26 mars, le S&P 500 passe sous les 5 400 points. La dérégulation de Trump a-t-elle créé une bombe financière ?
Le spectre du « Minsky Moment »
Cet épisode est un tournant. On découvre l’ampleur des actifs toxiques cachés dans le système bancaire américain. Les experts parlent d’un « Minsky Moment » : un point de rupture où la dette excessive provoque des effondrements financiers. Les bulles (tech, crypto, immobilier) éclatent, menaçant l’économie mondiale.
Contagion géopolitique et économique (Avril-juin 2025)
Contagion géopolitique et économique : Avril-juin 2025, le chaos s’étend
Une opportunité pour la Chine
Sous pression à cause des tarifs douaniers de Trump, la Chine intensifie ses exercices militaires près de Taïwan, voyant une chance d’affirmer sa puissance. L’économie mondiale entre dans une période d’instabilité extrême.
1er avril : L’Ukraine abandonnée
Le 1er avril, Trump coupe l’aide militaire à l’Ukraine avec un tweet : « L’Europe paie ou perd ». Sans soutien, l’Ukraine s’affaiblit, et la Russie occupe 30 % du pays en juin. Les exportations de céréales chutent de 20 %, le blé monte à 450 dollars la tonne, et le gaz européen à 70 euros le MWh. L’UE entre en récession, avec un PIB en baisse de 3 % en 2025.
10-15 avril : Guerre commerciale avec la Chine
Du 10 au 15 avril, Trump impose des tarifs de 50 % sur les produits chinois, accusant Pékin de « voler la technologie américaine ». La Chine réplique le 15 avril par un blocus naval autour de Taïwan, réduisant de 40 % les exportations de semi-conducteurs de TSMC. Le Nasdaq plonge de 30 % à 12 000 points, TSMC perd 50 % de sa valeur, et l’industrie automobile mondiale réduit sa production de 20 % à cause d’une pénurie de puces.
20-25 avril : Escalade militaire au Moyen-Orient
Entre le 20 et le 25 avril, Trump soutient une frappe israélienne sur des sites nucléaires iraniens. L’Iran riposte en attaquant des pétroliers dans le détroit d’Ormuz, faisant monter le prix du Brent à 145 dollars le baril. Les pays importateurs de pétrole (Japon, Inde, UE) souffrent, et les marchés mondiaux paniquent.
Effondrement des États-Unis (Juillet-septembre 2025)
Effondrement des États-Unis : Juillet-septembre 2025, la chute s’accélère
Juillet : Krach immobilier
En juillet, les rendements des bons du Trésor américain à 10 ans atteignent 5,5 %, poussant les taux hypothécaires à 7,5 %. Les défauts de paiement explosent, avec 15 % des ménages en retard. Les prix de l’immobilier chutent de 20 % (de 400 000 à 320 000 dollars en moyenne). Il y a 1,5 million de saisies immobilières.
Août : Récession généralisée
En août, l’inflation américaine dépasse 8 %. La consommation chute de 12 %. Les entreprises licencient, et le chômage passe de 4 % à 8 % (12 millions de chômeurs). Le PIB américain recule de 5 %, et 40 000 PME font faillite chaque mois. Wells Fargo annonce une perte de 100 milliards de dollars le 10 août, mais Trump refuse toute aide : « Pas de socialisme ! » La Fed injecte 1 000 milliards de dollars, ce qui affaiblit le dollar (EUR/USD à 1,35).
Septembre : Crise bancaire systémique
En septembre, les pertes bancaires aux États-Unis atteignent 1 200 milliards de dollars. Citigroup frôle la faillite. Le S&P 500 chute à 4 000 points (-33 % depuis mars), et le Bitcoin s’effondre à 30 000 dollars.
Répercussions mondiales (Juillet-décembre 2025)
Répercussions mondiales : Juillet-décembre 2025, la crise s’étend
L’Europe en crise
De juillet à septembre, le gaz atteint 90 euros le MWh, et les exportations européennes vers les États-Unis chutent de 25 %. Le PIB de l’UE recule de 7 %, l’Allemagne entre en récession (-6 %), et le CAC 40 français chute à 4 000 points (-45 %). Des manifestations éclatent en France, où l’inflation atteint 10 %.
L’Asie sous pression
Entre juillet et octobre, la croissance chinoise stagne (+1 % de PIB) à cause des tarifs douaniers et du blocus de Taïwan. Le Japon, frappé par le prix du pétrole, voit son économie reculer de 5 %. Les indices Nikkei et Hang Seng perdent 35 %, soit 6 000 milliards de dollars.
Les pays émergents étranglés
La hausse des taux américains à 6 % provoque des défauts de paiement : l’Argentine fait défaut sur 80 milliards de dollars en juillet, et la Turquie sur 120 milliards de dollars en septembre. Le peso mexicain se dévalue de 40 %.
Ravages psychologiques (Juillet-décembre 2025)
Ravages psychologiques : Juillet-décembre 2025, la peur
La peur s’installe
Le 1er juillet, Trump tweete : « Les faibles tombent, les forts survivent – c’est l’Amérique ! ». La panique s’installe : la consommation américaine chute de 18 %, et 60 % des ménages cessent d’investir. L’indice VIX de mesure de la volatilité crève le niveau de 60.
La confiance brisée
D’août à décembre, Trump s’isole encore plus. Il menace de quitter l’ONU le 15 août, détruisant la confiance mondiale. Les entreprises réduisent leurs investissements de 20 %, les banques gèlent les prêts, et le chaos s’amplifie.
Conséquences finales (Octobre-décembre 2025)
Conséquences finales : Octobre-décembre 2025, l’apocalypse
Les États-Unis en chute libre
Avant l’invasion de Taïwan, le S&P 500 chute à 3 500 points (-42 %), et le Bitcoin s’effondre à 15 000 dollars (-86 %). Le PIB américain recule de 9 %, et le chômage atteint 12 % (18 millions de chômeurs). Des émeutes éclatent dans 15 villes : pillages à Detroit le 5 octobre, affrontements à Los Angeles le 12 octobre. Des milices pro-Trump patrouillent, ajoutant à l’instabilité.
Invasion de Taïwan par la Chine
Le 20 octobre, après des mois de tensions, la Chine lance une opération militaire contre Taïwan, invoquant la « réunification ». L’Armée Populaire de Libération (APL) coupe les câbles internet, frappe les bases militaires et établit une tête de pont sur la côte ouest, malgré une forte résistance (plus de 10 000 morts).
- Marchés : Nasdaq à 9 600 points (-20%), S&P 500 à 3 200 points, or à 3 000 $/once.
- Pénurie de puces :TSMC cesse ses exportations, production auto –40 %, Apple et Nvidia –30 % de revenus, prix des électroniques doublés.
Réponse géopolitique
Trump tweete : « La Chine vole Taïwan pendant que Biden dort ! ». Il refuse toute intervention militaire (« Les États-Unis ne paieront pas »), impose un embargo total sur la Chine et déclare l’état d’urgence le 15 novembre, accusant la Fed, la Chine et « les traîtres démocrates ». Le dollar chute (EUR/USD à 1,55), et l’inflation atteint 10 %.
Le Japon et la Corée du Sud, terrifiés, voient l’indice Nikkei chuter à 15 000 points (-40 %). L’UE, déjà en récession (-7 %), ne peut rien faire face au prix du gaz qui atteint 100 euros le MWh.
Un monde en ruines
Le PIB mondial chute de 7 %, les bourses perdent 65 % de leur valeur (45 000 milliards de dollars), et les dettes font défaut sur 18 000 milliards de dollars. Le Programme Alimentaire Mondial (PAM) estime le nombre de personnes souffrant de famine à 90 millions. L’Iran bloque le détroit de Bab el-Mandeb, et le prix du Brent s’envole à 160 dollars le baril. Le dollar américain ne représente plus que 45 % des réserves mondiales, tandis que le yuan chinois atteint 15 %.
Des leaders dépassés
Dépassé, Trump accuse ses ennemis le 20 décembre : «Nous sommes en guerre économique, et je gagnerai !».
Xi Jinping célèbre une « nécessité historique », malgré une économie chinoise qui ne croît que de +0,5 %.
Décembre 2025 : L’héritage du chaos
Trump devient le symbole du chaos qu’il a créé, validant la théorie de l’économiste Hyman Minsky sur la fragilité du système financier.
L’Union Européenne à la rescousse (Janvier 2026 – Décembre 2027)
L’Union Européenne à la rescousse : Janvier 2026 – Décembre 2027, l’espoir
Janvier-mars 2026 : Face au chaos
Le monde est en ruines : PIB mondial -7 %, bourses –45 000 milliards de dollars, dettes en défaut –18 000 milliards de dollars. Les États-Unis sont paralysés, la Chine vacille (+0,5 % de PIB), mais l’UE (-7 %) tient bon, avec une monnaie stable (EUR/USD 1,55).
Le 5 janvier, la France et l’Allemagne (Angela Merkel est rappelée) lancent à Pau le Plan de Renaissance Mondiale (PRM) : 2 000 milliards d’euros pour stabiliser l’économie, financé par des eurobonds et des taxes sur les géants technologiques.
- Février : le gaz revient à 60 euros le MWh (accord avec la Russie), et le Brent à 120 dollars le baril (médiation avec l’Iran). Investissement de 500 milliards d’euros dans la production de puces (TSMC en Pologne et en Allemagne).
- Mars : Aide humanitaire de 300 milliards d’euros, réduisant le nombre de personnes souffrant de famine à 50 millions (Elon Musk quitte ses fonctions aux USA et demande à coordonner l’aide humanitaire, avec Thierry Breton).
Avril-juin 2026 : Médiation et rebond
- Avril : Cessez-le-feu entre la Chine et Taïwan (15 avril), et statut spécial pour Taïwan. Trump accepte 500 milliards d’euros de prêts de l’UE, lève les tarifs douaniers et désarme ses milices.
- Mai : Restructuration de 18 000 milliards de dollars de dettes, le CAC 40 français passe à 5 000 points, et le S&P 500 américain à 4 000 points. Investissements dans les infrastructures vertes (1 500 milliards d’euros, 5 millions d’emplois), et le PIB de l’UE s’améliore à -2 %.
- Juin : Accord de paix entre l’Inde et le Pakistan, et le prix du blé revient à 350 dollars la tonne.
Juillet-décembre 2026 : L’UE leader économique
- Juillet : L’euro est utilisé dans 60 % des transactions mondiales.
- Septembre : Signature du Pacte de Stabilité Globale (PSG), et le PIB mondial se rétablit à -3 %.
- Décembre : Le Brent revient à 100 dollars le baril, le S&P 500 à 4 500 points, et le Bitcoin à 25 000 dollars.
Janvier-décembre 2027 : L’UE incontournable
- Janvier : le PIB mondial bondit à +1 %, et celui de l’UE à +2 %. Un Conseil Européen Mondial (CEM) est convoqué à Paris.
- Mars : Trump est marginalisé (sa procédure d’impeachment échoue). Il se réfugie à Las Vegas, sombrant dans l’oubli. Un Pacte de Prospérité universelle est mis en place par l’Europe.
Après le « Minsky Moment » de 2025, l’UE émerge en 2027, avec 5 000 milliards d’euros investis pour stabiliser l’économie et arbitrer les conflits. Elle devient la référence, avec un euro dominant, une technologie prospère et un modèle de société apaisé, face à des États-Unis divisés et à une Chine affaiblie.
Chers lecteurs,
Ce blog est le vôtre : je le tiens assidument avec régularité et passion. Des milliers d’articles et d’analyses sont à votre disposition, dont les premiers remontent à 1993 !
Mes prises de position macro économiques furent autrefois qualifiées d’hétérodoxes. Elles sont aujourd’hui communément admises et reconnues. Quoiqu’il en soit, elles ont toujours été sincères.
Comme vous l’imaginez, vous qui découvrez ce site ou vous qui me lisez depuis des années, l’énergie déployée et le temps consacré à mes recherches sont substantiels. Ce travail continuera à rester bénévole, accessible à toutes et à tous.
Je mets à votre disposition cette plateforme de paiement, et vous encourage à me soutenir par des dons, ponctuels ou récurrents.
Que celles et ceux qui jugent bon de soutenir ma démarche en soient chaleureusement remerciés.

AAA pour cette analyse “dystopique” ou à la “Road Runner” (Bip Bip) ! 😉
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RAYMOND – 5 décembre 2020 à 13 h 30 min
Bonjour [XY] (…) nos organes de surveillance peuvent bien s’entraîner à la fuite en avant, à l’instar du personnage créé par Tex Avery, “Road Runner”, il n’empêche que nous pouvons aussi – et raisonnablement – nous interroger sur le bon fonctionnement de l’autorité indépendante de surveillance des marchés financiers, c-à-d la FINMA. Les experts du FMI n’ont-ils pas ausculté le fonctionnement du système financier suisse et appelé au renforcement des règles de gouvernance de la FINMA? Ces experts n’ont-ils pas mis le doigt sur une pratique selon laquelle l’autorité de réglementation et de supervision délègue des tâches de contrôle des banques à des cabinets d’audit qui sont rémunérés par ces dernières, nous laissant se poser légitimement des questions sur le conflit d’intérêts? Comme l’a fait comprendre Paul H. Mathieu, un des experts du FMI qui a conduit l’examen du secteur financier, “le régulateur devrait payer lui-même les mandats d’audit. Une telle mesure est non seulement dans son intérêt, mais aussi dans celui de la crédibilité internationale de la place financière suisse”.
Comme l’indiquait Paul Krugman dans un de ses ouvrages déjà daté, faisant notamment un clin d’oeil au livre majeur de Hyman Minsky (“Stabilizing an Unstable Economy”) avec le “Minsky Moment”. Ce moment est décrit par Krugman comme celui de “Vil Coyote”. Pour être plus précis, c’est la “Théorie du Coyote suspendu” qui fait aussi référence aux travaux de Galilée. Et, est illustrée dans les dessins animés de Tex Avery (Warner Bros.) par le personnage créé par Chuck Jones : “Vil Coyote qui, emporté par son élan en pourchassant Bip Bip, poursuit sa course au-delà du bord d’une falaise dans les nuages, il ralentit, s’immobilise, reste un court instant suspendu en l’air et, prenant conscience soudainement de sa situation qu’il courrait dans le vide, nous regarde l’air incrédule, cherche à tâter la terre ferme avant la une chute vertigineuse” (…)
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Aïe-aïe-aïe la BNS 🤣 Bref !
À bientôt la répudiation des dettes “odieuses” US ?
https://michelsanti.fr/elections-us/la-dette-grande-absente-de-la-campagne-electorale-americaine
Stagflation ou Récession américaine, faites vos jeux, rien ne va plus !
https://www.atlantafed.org/-/media/Images/cqer/research/gdpnow/gdpnow-forecast-evolution.gif
Après la “théorie complotiste” de Elon Musk sur l’état des stocks de la “relique barbare” (Gold) à Fort Knox – et même si la coupure américaine ($) à l’effigie de Benjamin Franklin émise par le “Bureau of Engraving and Printing” pour le compte de la Fed demeure la plus contrefaite au monde (secret de polichinelle ) – tout de même, le locataire de la Maison Blanche devrait lui aussi s’abstenir à ce genre de propos avec les crypto-actifs…
https://truthsocial.com/@realDonaldTrump/posts/114093526901586124
Quel cirque ! (ai-je dis “panem & circenses”)
Après la “théorie complotiste” de Elon Musk sur l’état des stocks de la “relique barbare” (Gold) à Fort Knox – et même si la coupure américaine ($) à l’effigie de Benjamin Franklin émise par le “Bureau of Engraving and Printing” pour le compte de la Fed demeure la plus contrefaite au monde (secret de polichinelle ) – tout de même, le locataire de la Maison Blanche devrait lui aussi s’abstenir à ce genre de propos avec les crypto-actifs…
https://truthsocial.com/@realDonaldTrump/posts/114093526901586124
Quel cirque ! (ai-je dis “panem & circenses”)
[Mardi, Michael Mussa, le chef économiste du Fonds monétaire international (FMI), a estimé qu’un retour à une relation plus normale entre le cours des actions et les résultats des entreprises « pourrait aisément se traduire par une correction d’environ 20 % et peut-être même davantage »] (*)
– Comment se représenter le niveau d’un marché dangereusement surévalué (~28×) avec l’indicateur: “Price-Earnings Ratio”?
https://graphseobourse.fr/wp-content/uploads/2024/12/image-27.png.webp
(*) ⚠️ Ces propos datent du mardi 20 avril 1999 [et que l’on peut recontextualiser à l’aide du graph’ – 1999/2024 – pour s’interroger ensuite] Mais chut…tout va toujours très bien dans le “Meilleur des mondes” de l'”Oncle Joe” [made in USA].
Ce que pensent les Américains vs la réalité. D’où importent-ils leur pétrole ?
https://2000watts.org/images/stories/Cartoon/2025/2025_02_Canada-USA-Petrole-Peception.jpg
Trump recherche-t-il la récession économique [étasunienne] coûte que coûte? 🙃
“Les extractions de schiste américaines (USA) devraient atteindre un plateau d’ici à 2026 et décroître dès 2028, soit avant le départ de Trump”
https://2000watts.org/images/stories/Cartoon/2025/2025_02_Production-Schiste%20plateau%202026.jpg
Ce n’est pas votre serviteur qui le constate, mais un Géo-économiste de l’Energie [diplômé MBA de Dallas University, Texas et de Xavier University, Ohio, USA] qui étudie depuis des lustres l’impact des énergies sur les économies au niveau mondial.
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RAYMOND – 26 avril 2022 à 15 h 49 min
Je vais le dire à nouveau avec un agacement non dissimulé et une arrogance assumée. La passivité de cette nouvelle race d’homo-politicus me fatigue terriblement, car soit elle reste frappée d’une tare congénitale sans commune mesure, soit elle assume un QI de moineau tant l’ensemble des “sciences économiques” lui reste étrangère. À sa décharge, rien de surprenant après avoir été suspendues durant des décennies aux mamelles des “sciences économiques mainstream”. Bref!
Encore une fois, huit ans après la révolution Ukrainienne de Maïdan (2014) – déjà oubliée pour beaucoup – l’on vient s’étonner à présent que l’aggravation du dernier conflit en Ukraine mené par la Russie (2022) précipite le grand renversement du monde. Un peu de sérieux nos homo-politicus puisque la mondialisation nous démontre bien, aujourd’hui, en 2022, que l’Occident – sous leadership américain – ne parvient plus à contenir les puissances émergentes! Souvenons-nous – alors que les USA craignent à ce jour et plus que tout un embrasement avec l’Asie, malgré les apparences trompeuses – que l’Union économique eurasiatique tombe d’accord avec la Chine pour mettre cette fois en place un système financier et monétaire indépendant du dollar US. Mais rien de nouveau sous le soleil en fait, car en 2009 – soit une année après la grande conflagration financière mondiale de 2008, débarquée des États-Unis, symbole par excellence des excès de la finance – le gouverneur de la Banque populaire de Chine, M Zhou Xiaochuan, était revenu à la charge contre l’”hégémonie du dollar” dans le cadre d’une conférence intitulée “Reform the international Monetary System”. Pour un nouvel ordre monétaire mondial. En 2018 – soit bien avant le choc sanitaire mondial aux conséquences économiques catastrophiques – Poutine et son homologue chinois Xi Jinping avaient réaffirmé leur volonté de se passer du dollar américain dans le cadre de leurs échanges commerciaux. Sans compter que l’Arabie saoudite eu récemment encore – en mars 2022 – envisagé d’accepter le Yuan pour ses exportations de pétrole.
Enfin, si l’ancienne Libye de Kadhafi et l’ancien Irak de Saddam Hussein se sont cassé les dents sur les “pétrodollars” – que le Vénézuela qui était le 4ème pays le plus riche du monde dans les années 1950 paie son addiction à l’empire américain ces dernières années – une entente de la Chine, des producteurs arabes d’hydrocarbures et de la Russie pour se passer du billet vert serait fatale pour l’économie américaine grevée par sa dette exponentielle. Et par analogie lourde de conséquences pour l’Europe. Le “Petroyuan” n’est donc plus un risque que “nos économistes mainstream” ne peuvent feindre d’ignorer (…)
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Réserves de change (2025) ? 🤔
https://elucid.media/wp-content/uploads/resized/2025/02/reserves-change-lente-dedollarisation-monde-elucid.jpg_fit-1500×0-q87-hash00.jpg
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Fleur au fusil, la France et l’Allemagne se dirigent à présent vers une “économie de guerre” – alors qu’en 2015-2020 (durant l’annexion de la Crimée) – ces deux pays européens ont soutenu en armement…la Russie 🫢
https://i0.wp.com/michelsanti.fr/wp-content/uploads/2022/03/FOC9KrrWUAYKTXi.jpg?w=713&ssl=1
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Quel Monde ! 🙃
Quel Monde ! “Une augmentation sans précédent des importations de lingots d’or suisses (et raffinés en Suisse) entraîne un déficit commercial américain à un niveau record en janvier 2025. Un déficit commercial inégalé depuis 1992”.
Ou quand la réthorique Trumpienne et Muskienne s’apparente à une manipulation en bonne et due forme [Ça nous change un peu des manipulations sur le marché des changes🙊]
https://assets.zerohedge.com/s3fs-public/styles/inline_image_mobile/public/inline-images/image%20%2898%29_2.png?itok=MePW6unN
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https://assets.zerohedge.com/s3fs-public/styles/inline_image_mobile/public/inline-images/bfm5DF7.jpg?itok=1NKGeNUg
Dans quel but? 🙈🙉🙊