Le business de la guerre
J’avais obtenu au printemps dernier des informations confidentielles m’ayant permis d’écrire le 26 mai :
Gaza 2035: table rase
Trump vient d’appeler de ses voeux le “déplacement les habitants de la bande de Gaza vers l’Egypte et la Jordanie dans le cadre d’un plan de paix consistant à “nettoyer l’enclave palestinienne”, qu’il a comparé à un “site de démolition”.
Guerre et business ont toujours fait bon ménage.
Cette maxime atteindra le summum de la perversité avec Trump 2.
Chers lecteurs,
Ce blog est le vôtre : je le tiens assidument avec régularité et passion. Des milliers d’articles et d’analyses sont à votre disposition, dont les premiers remontent à 1993 !
Mes prises de position macro économiques furent autrefois qualifiées d’hétérodoxes. Elles sont aujourd’hui communément admises et reconnues. Quoiqu’il en soit, elles ont toujours été sincères.
Comme vous l’imaginez, vous qui découvrez ce site ou vous qui me lisez depuis des années, l’énergie déployée et le temps consacré à mes recherches sont substantiels. Ce travail continuera à rester bénévole, accessible à toutes et à tous.
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Tout à la fois fort instructif et terrifiant, mais ô combien peu surprenant à la mesure du prix du sang et des larmes. Merci pour cette brillante analyse “dystopique” qui n’a rien de fictive, cher Michel !
Il y a plus d’une décennie (septembre 2012) à en croire mon hémérothèque, alors que ton blog portait encore l’empreinte “gestionsuisse.com”, je m’étais déjà étendu (développement) sur le sujet de l’impérialisme américain avec ses recours sans concession à une activité professionnelle peu orthodoxe, celle du “Economic Hit Man” (“assassin financier”; via le truchement des Dettes, par analogie aux conditions de l’asservissement selon la maxime de l’un des pères fondateurs des États-Unis
)…
http://www.dailymotion.com/video/xazero_temoignage-d-un-assassin-financier_news
Alors, afin d’éviter toutes éventuelles polémiques ou ramassages conspirationistes improductifs, je ne vais donc pas m’étendre plus avant sur un sujet déjà hautement sensible (l'”Épée”; par analogie à cette maxime de John Adams, l’un des pères fondateurs des États-Unis) si ce n’est de souligner à nouveau que sous le haut patronage de l’administration Nixon (1974), l”‘Oncle Sam” négociait un arrangement bien spécifique avec l’Arabie Saoudite (système des pétrodollars) : “Des armes en sus de l’assurance d’un protectorat en échange de la manne pétrolière pour recyler les dollars américains afin de financer les déficits US par l’entremise d’achats massifs de Bons du Trésor”. Et dans le contexte géopolitique (économique et monétaire) mondial actuel (où deux blocs distincts composés de leurs alliés respectifs s’opposent en rebattant les cartes, entre-autres avec l’élaboration de nouvelles “Routes de la soie”) – la main mise sans concession sur les ressources et richesses planétaires n’est plus qu’un leitmotiv – au détriment des peuples – selon cette conception de l’empire américain (l”‘Épée”). En 2022, “les ménages” aux États-Unis (31,5%) et en Chine (18,4%) se combinaient pour constituer la moitié de toute la richesse personnelle dans le monde…
https://www.visualcapitalist.com/wp-content/uploads/2022/11/world-household-wealth-by-country-in-2022.jpg
…alors qu’en un peu plus d’une décennie, la part de l’Europe dans la richesse des ménages a chuté de huit points de pourcentage et serait dû (en partie selon certains avis) à la dynamique économique de la Chine…
https://www.visualcapitalist.com/wp-content/uploads/2022/11/world-household-wealth-by-continent-2022.jpg
Voilà qui a le mérite de se rendre plus soucieux (réalistes) quant aux velléités étasuniennes.