L’Europe malade de la finance?

mai 7, 2013 0 Par Michel Santi

« Si la globalisation était – en théorie – porteuse d’espoirs et de prospérité pour certaines nations et régions de ce monde, elle s’est également révélée catastrophique pour les pays n’ayant pu ou su réguler un système bancaire dès lors devenu tentaculaire et incontrôlable, pour avoir réalisé des bénéfices à l’échelle mondiale. Idem pour la construction européenne: projet et idéal formidable sur le point de sombrer faute de centralisation, de régulateur bancaire commun et de fiscalité partagée. »

Ces lignes d’un réalisme bien désolant sont de la plume de M. Michel Santi. Celui-ci est économiste et vient de publier aux éditions de l’Harmattan un livre intitulé “Splendeurs et misères du libéralisme”. M. Santi connaît très bien les mécanismes ayant mené à la crise économique que traverse l’Occident actuellement. De même, d’aucuns s’accordent pour reconnaître le caractère prémonitoire de certaines de ces affirmations.

Michel Santi sera parmi nous mercredi 8 mai à 20 heures dans nos locaux de la Place du Grand Saint-Jean à Lausanne. Nous nous réjouissons d’entendre ses réflexions. 

http://www.ligue-vaudoise.ch/?actu_id=211

 

 

Chers lecteurs,

Voilà plus de 15 ans que je tiens ce blog avec assiduité et passion.
Vous avez apprécié au fil des années mes analyses et mes prises de position souvent avant-gardistes, parfois provocatrices, toujours sincères.
Nous formons une communauté qui a souvent eu raison trop tôt, qui peut néanmoins se targuer d'avoir souvent eu raison tout court.
Comme vous le savez, ce travail a - et continuera - de rester bénévole, accessible à toutes et à tous.
Pour celles et ceux qui souhaiteraient me faire un don, ponctuel ou récurrent, je mets néanmoins à disposition cette plateforme de paiement.
J'apprécierais énormément vos contributions pécuniaires et je tiens à remercier d'ores et déjà et de tout cœur toutes celles et tous ceux qui se décideront à franchir le pas de me faire une donation que j'aime à qualifier d'«intellectuelle».

Bien sincèrement,

Michel