Une histoire dingue avec Chat GPT, à lire absolument

Avant de me coucher hier, n’ayant pas de calendrier au lit et prenant rendez-vous avec un ami, je demande à Chat GPT de me donner le calendrier du mois de février 2025, donc le mois en cours.
REPONSE :
Voici le calendrier pour le mois de février 2025 :
– 1er février : dimanche
– 2 février : lundi
– 3 février : mardi
– 4 février : mercredi
– 5 février : jeudi
– 6 février : vendredi
– 7 février : samedi
– 8 février : dimanche
– 9 février : lundi
– 10 février : mardi
– 11 février : mercredi
– 12 février : jeudi
– 13 février : vendredi
– 14 février : samedi
– 15 février : dimanche
– 16 février : lundi
– 17 février : mardi
– 18 février : mercredi
– 19 février : jeudi
– 20 février : vendredi
– 21 février : samedi
– 22 février : dimanche
– 23 février : lundi
– 24 février : mardi
– 25 février : mercredi
– 26 février : jeudi
– 27 février : vendredi
– 28 février : samedi
Si vous avez besoin d’un détail précis ou d’autres informations, je suis là pour vous aider ! 😊
Comme je savais que le 17 février est un lundi, car j’ai ce jour-là un entretien important, et comme elle m’indique que le 17 février est un…mardi !
Je réponds : Non. Le lundi est 17 février 2025
Voilà ce que me dit alors cette chère Chat GPT, le plus tranquillement du monde :
Ah, vous avez tout à fait raison ! Je m’excuse pour l’erreur.
Voici le calendrier corrigé pour février 2025 :
– 1er février : samedi
– 2 février : dimanche
– 3 février : lundi
– 4 février : mardi
– 5 février : mercredi
– 6 février : jeudi
– 7 février : vendredi
– 8 février : samedi
– 9 février : dimanche
– 10 février : lundi
– 11 février : mardi
– 12 février : mercredi
– 13 février : jeudi
– 14 février : vendredi
– 15 février : samedi
– 16 février : dimanche
– 17 février : lundi
– 18 février : mardi
– 19 février : mercredi
– 20 février : jeudi
– 21 février : vendredi
– 22 février : samedi
– 23 février : dimanche
– 24 février : lundi
– 25 février : mardi
– 26 février : mercredi
– 27 février : jeudi
– 28 février : vendredi
Encore désolé pour l’erreur initiale ! 😊 Si vous avez d’autres questions, je suis là.
Outré par une telle erreur, alors qu’il s’agissait là de la question la plus simple du monde.
En effet, il est si facile de trouver les calendriers des mois et ce, des siècles comme des millénaires, passés et futurs.
Michel : Comment peut-on se tromper comme ça ??
REPONSE DE Chat GPT :
Je comprends que ça puisse prêter à confusion, et je m’en excuse sincèrement. C’était une erreur de ma part, probablement liée à une mauvaise interprétation du calendrier. Je suis une machine, et même si je suis conçue pour traiter des informations rapidement, parfois des petites erreurs peuvent se glisser.
Je vous remercie de votre patience, et je m’efforce toujours de vous fournir les informations les plus précises possibles. Si vous avez d’autres demandes ou questions, je ferai de mon mieux pour être exact cette fois-ci ! 😊
Une “petite erreur” ? Je reste interloqué.
Vous avez dit “Intelligence Artificielle” ?
Chers lecteurs,
Ce blog est le vôtre : je le tiens assidument avec régularité et passion. Des milliers d’articles et d’analyses sont à votre disposition, dont les premiers remontent à 1993 !
Mes prises de position macro économiques furent autrefois qualifiées d’hétérodoxes. Elles sont aujourd’hui communément admises et reconnues. Quoiqu’il en soit, elles ont toujours été sincères.
Comme vous l’imaginez, vous qui découvrez ce site ou vous qui me lisez depuis des années, l’énergie déployée et le temps consacré à mes recherches sont substantiels. Ce travail continuera à rester bénévole, accessible à toutes et à tous.
Je mets à votre disposition cette plateforme de paiement, et vous encourage à me soutenir par des dons, ponctuels ou récurrents.
Que celles et ceux qui jugent bon de soutenir ma démarche en soient chaleureusement remerciés.
Bonsoir Michel,
C’est sûr que ta question a semé le désordre dans le “temps et l’espace” de ce réservoir algorithmique, tout comme toi-même a perdu ton temps sur ce coup là (donc une richesse). Et dire qu’au sommet de Paris, le vice-président américain – J.D. Vance – a défendu l’approche non interventionniste des États-Unis et a mis en garde contre une “régulation excessive” qui pourrait “tuer” l’IA. Tandis que le président de la République Française – Emmanuel Macron – continue de faire son show à “zinzins”* en mobilisant quelques neurones sur les réseaux sociaux (qui ne sont pas réprésentatifs d’une matière grise aiguisée) afin de promouvoir l’Intelligence Artificielle. Wahou, renversant ! 🤣
* Communément surnommés les “zinzins”, les investisseurs institutionnels sont des collecteurs d”’épargne” (capitaux).
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RAYMOND – 20 décembre 2021 à 11 h 54 min
(…) Les années passent et pourtant le monde trépasse toujours un peu plus. Autant dire que l’héritage de toute une génération de politiciens bercés trop près du mur accrédite le constat du père de l’économie comportementale, Richard Thaler: “Ce sont les fous qui sont désormais à la tête de l’asile!” (…)
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CQFD 🙊🙉🙈
Bonsoir,
Cela s’appelle une hallucination. C’est assez courant dans les modèles de langages du type ChatGPT. Ces modèles ne sont pas conçus pour donner des informations exactes, mais pour donner une réponse qui ressemble aux données sur lesquelles il a été entrainé. A la question sur le calendrier il a simplement répondu avec un calendrier qui peut paraître plausible. Qu’il soit faux n’est pas son problème, et c’est inutile de le corriger, il ne stocke pas la réponse corrigée dans son modèle. Je viens de poser à ChatGPT la même question, et là il a mis le 1ier février au vendredi. Par contre il met bien 28 jours à février, le modèle a bien noté que ce mois a en général 28 jours. J’ai posé la même question à Le Chat, le modèle de Mistral, lui a mis le 1ier février à jeudi, toujours avec 28 jours.
Ce genre de modèle est très bien si on veut imiter quelque chose, un texte, un code informatique, une image, etc… Mais en aucun cas on ne peut faire confiance à ces outils pour obtenir des informations réelles.
Merci de ce retour d’expérience, et d’améliorer ma compréhension de ces IA.
Je suis néanmoins interloqué par ce type d’erreur, et pense à l’IA dans les domaines médicaux, militaires en espérant…plus de précision.
Car, en attendant, j’hallucine en même temps que la machine…
Les indiens pauvres n’utilisent pas le même calendrier que nous.
intéressant. vous pouvez expliquer?
Pardon pour le retard, voici la réponse via un article d’un site de spécialistes :
https://intelligence-artificielle.developpez.com/actu/372580/La-licorne-d-IA-Builder-ai-autrefois-valorisee-a-1-5-milliard-de-dollars-a-fait-passer-le-travail-de-developpeurs-bases-en-Inde-pour-l-automatisation-d-une-IA-pendant-huit-ans/
Quelle sorte d’instabilité (aléa) serons-nous prêt à accepter avec l’Intelligence Artificielle.
Par exemple, au sujet [“Black Swan”; respectivement un “Cygne noir”] d’une “confabulation” (hallucination) de l’IA corrélée au “High-Frequency Trading” (trading à haute fréquence)? Telle pourrait-être la première question majeure, aujourd’hui, du fait que Washington plaide la dérégulation de cette technologie artificielle🤔
Sans doute un autre “biais cognitif défaillant” [après celui de la “confabulation” tel que théorisé, envers l’humain, par le Pr Armin Schnider, médecin chef du Service de neurorééducation au HUG Genève] – où l’amnésie de l’impérialisme américain le conduit jusqu’à oublier [ou se confondre dans les méandres de son propre espace] un autre point crucial de son Histoire économique, celui de la déréglementation du secteur financier dans l’espace temps des années 2000 – avec le “Commodity Futures Modernization Act” – et dont nous mesurons encore aujourd’hui (par empirisme) les effets et conséquences désastreuses. Ça laisse songeur quant à l'”évolution du monde” [et de l’espèce humaine] que certains qualifieraient de “progrès”, comme ils l’ont si bien fait du temps des dernières innovations en matière d’ingénierie financière y a quelques petites décennies seulement. En effet, comment ne pas se souvenir de cette date du 23 octobre 1999 qui marquait le texte d’un compromis entre le Congrès américain et l’Exécutif, accepté par Bill Clinton alors président des États-Unis.qui déclara que: “lorsque cet accord potentiellement historique sera finalisé, il permettra de renforcer l’économie et aidera les consommateurs, les communautés et les entreprises aux quatre coins des États-Unis” ! Cédant ainsi facilement aux sirènes du secteur financier (doté de la force de son ingénierie comme autant de “progrès”) et aux dogmes des “sciences économiques” en vigueur [en suivant la logique de la “Public Choice Theory”] le président Clinton ne fera usage de son droit de veto [à titre de précaution] et signera le “Gramm Leach Bliley Act” (Financial Services Modernization Act) le 12 novembre 1999, abolissant ainsi les vestiges du “Banking Act 1933” (Glass Stegall Act de 1933). La suite sera limpide pour les esprits éclairés au prisme de l’instabilité.
Tandis qu’aujourd’hui encore, nos “magnats de l’économie” ne voient-ils toujours que le verre à moitié plein, à l’image des esprits lunaires (pour ne pas dire “Animaux”, respectivement “Animal Spirits” en référence à l’ouvrage de G.Akerlof et R.Shiller) qui caractérisaient la Réserve Fédérale en 2005 – pilotée par le libertarien et monétariste Alan Greenspan – au point d’ignorer les mises en garde du jeune chef économiste indien du FMI – Raghuram Rajan – sur les risques croissants dans le système financier lors de la conférence annuelle de la Fed à Jackson Hole, cette année là. Ces travaux fouillés lui vaudront même une volée de bois verts de la part du controversé ancien secrétaire d’État au Trésor américain, Lawrence Summers, pour qui les alertes de l’économiste indien Raghuram Rajan feraient montre d’un mauvais jugement (“misguided”) et seraient même “réactionnaires” [c-à-d contraire à l’esprit “du temps et de l’espace” de l’époque]. Nos “esprits animaux” [et ce qui en est traduit aujourd’hui prisme des excès du béhaviorisme] vont-ils changer la donne? Voilà une question qui fâche…
https://www.imf.org/fr/Blogs/Articles/2024/10/15/artificial-intelligence-can-make-markets-more-efficient-and-more-volatile
Ainsi, en terme de “progrès”, encore faudrait-il également s’entendre sur sa conception morale et éthique. Ce “progrès disruptif” se mesurera-t-il uniquement en terme de croissance du PIB comme valeur ultime de la richesse nationale…à l’instar de cet exemple dans l’ère du temps (2024/2025)?
https://cdn.statcdn.com/Infographic/images/normal/26685.jpeg
Ou… rétrospectivement (2017)…le “progrès” s’affichera-t-il comme celui-ci?
https://michelsanti.fr/cash/linde-paralysee-disparition-cash
Voir plus communément, à l’image de l’Inde où le “Raj des milliardaires” est désormais plus inégalitaire que le “Raj colonial Britannique”?
https://wid.world/fr/news-article/inegalites-economiques-en-inde-le-raj-des-milliardaires-est-desormais-plus-inegalitaire-que-le-raj-colonial-britannique/
Pour le macroéconomiste de Cambridge qui révolutionna les “sciences économiques” du 20ème siècle, John Maynard Keynes (1883 – 1946), il avait prédit, dès 1938, en estimant qu’avec l’augmentation de la productivité due aux machines (progrès) il suffirait en l’an 2000 que chacun s’astreigne à trois heures de travail productif par jour pour que chacun subvienne à ses besoins. Pourtant on travaille toujours au moins 35 heures par semaine dans nos sociétés modernes et la valeur-travail se porterait plutôt bien selon certains avis bien tranchés – alors qu’on devrait dire que la valeur-travail s’accroche autant que faire ce peut au 21ème siècle. Autant dire que ce “progrès” – post 2000 – laisse un goût amer. Quant à la vision du monde (qui n’avait rien d’une hallucination) selon le père du monétarisme et du nouveau courant dominant (post Keynésien) – “Le vent tourne” (1980) – l’avait-il annoncé lorsqu’il s’exprimait lors de son show, lui, Milton Friedman (1912 – 2006) qui sera le fondateur de l’École de Chicago (véritable Mecque de l’idéologie néo-libérale) et dont ses disciples (Chicago Boys) pourront tester grandeur nature son laboratoire économique au Chili et en Argentine (que de “progrès” économiques, sociaux et sociétaux pour ces deux pays?). Mais paraît-il que le “Capital” est toujours synonyme de “Liberté” (“Capitalism and Freedom” – 1962) en 2025, alors que la notion même de nos Démocraties recule et que la propre conception du monde selon Friedman (ai-je dis un monde d’après?) semble toujours un leitmotiv d’actualité ; un monde qui a pourtant déjà constaté des inégalités criantes de revenus (dichotomie exacerbée dans la répartition de la richesse nationale) en 2006-2008, revenues aussi extrêmes qu’en 1920, comme le postulera d’ailleurs l’économiste Paul Krugman, parmi tant d’autres scientifiques beaucoup moins radicaux. Lequel ajoutait en substance :”- et pourtant – jusqu’en 2006 du moins, alors même que la crise du subprime US trouvait son point de départ, les électeurs ont voté en majorité pour des candidats cultivant cette évolution !” (à croire que l’Histoire est condamnée à se répéter à l’infini). Un fossé des inégalités qui n’a eu de cesse à se creuser encore depuis 2008 (d’une façon inquiétante) tandis que les dettes souveraines en Occident n’ont jamais connu de telles sommets en temps de paix. Logique, pourtant, si l’on appréhende le phénomène sous l’angle de l’Argent/Dette [alors qu’en parallèle, nos Biens communs essentiels à l’instar de la santé; l’instruction; la sécurité int. et ext. n’ont cessé de se détériorer. Que de “progrès”?). Et ne parlez pas – post mortem – de “responsabilité sociale” au prophète du néo-libéralisme car il s’en est déjà exprimé dans une tribune du “New-York Times” datée du 13 septembre 1970 et titrée “La responsabilité sociale de l’entreprise est d’accroître ses profits”. Intéressant, puisqu’avec cette liturgie dogmatique, Milton Friedman fera savoir à ses porte-drapeaux que “le dirigeant d’une entreprise est l’agent des actionnaires” [les détenteurs du grand capital] et “doit ainsi se conformer à leur objectif tout en respectant les règles de base de la société”. “Dans un système de libre entreprise et de propriété privée, un dirigeant d’entreprise [l’intérressé] est l’employé des propriétaires de l’entreprise ” [les détenteurs du capital]. “Il est directement responsable devant ses employeurs [les détenteurs du capital]. Cette responsabilité est de mener l’entreprise en accord avec leurs désirs, qui en général doivent être de gagner autant d’argent que possible tout en se conformant aux règles de base de la société, à la fois celles représentées par la loi et celles représentées par la coutume éthique” [deux notions toutefois sujettes à caution depuis la “Grande Récession de 2008”; son phénomène du “Moral Hazard largement démocratisé; les tombereaux d’opérations contreproductives à moyen/long terme pour l'”économie réelle” et les “Leveraged buy-out” et “Stock buybacks” largement acceptés par le plus grand nombre]. Doit-on (sous un plan éthique et moral) considérer que la répartition profondément inégalitaire de la richesse, héritée dès lors [des idées zombies] est un “progrès” (l’antithèse du ruissellement, respectivement:”Trickle-Down”)? Le quidam sait-il au moins qu’aujourd’hui [par la dérégulation des marchés, la libre circulation des capitaux et les artifices propres à l’ingénierie financière que lui-même n’aura accès] la seule vélocité de circulation du Capital suffit à générer du capital neuf sans recourir au facteur Travail? Voilà un progrès, mais qui ne profite malheureusement plus à l’Intérêt général et au Bien commun [dans une mesure raisonnablement et rationnellement acceptable]!
Et si l’évolution technique (révolution industrielle) a détruit passablement d’emplois à l’époque du machinisme, qu’elle en a fabriqué d’autres en contrepartie selon le précepte schumpétérien de la “destruction créatrice”, ôtons-nous vite cette vue de l’esprit consistant à croire qu’elle va se réaliser [à nouveau] dans des proportions comparables. Car, bien que l’économie digitale (associée à la financiarisation) a pulvérisé des pans de l’économie marchande, l’innovation disruptive met déjà au banc la génération silencieuse (Z) et la génération (X) du monde du travail. Cette division fut tout autant permise par la complexification du travail qui, lui-même, a alimenté l’économie réelle d’emplois de plus en plus précaires, pour ne pas dire des “Jobs à la c.n” en paraphrasant feu l’économiste et anthropologue américain David Graeber. Croyez bien que je doute que cette balance du bénéfice/risque de l’IA soit essentiellement en faveur de l’Intérêt général et du Bien commun – du moins en l’état du capitalisme “sans foi ni loi” d’aujourd’hui (crony-capitalism) au sein d’un monde orwellien, car si l’on suit la logique néo-libérale, le marché du travail devrait fonctionner exactement comme les autres marchés : ajustement de l’offre et de la demande par les prix. Or, comme le travail est encadré par la lourdeur des législations (toutefois une forme “d’assurance” en faveur des ressources humaines et des retraités – un progrès social et sociétal) qui augmentent considérablement le coût de la main d’œuvre et fausse le marché concurrentiel (réduisant de fait les profits et les rentes du grand Capital), j’y vois alors une quadrature du cercle – surtout que cette idéologie (paradoxalement) se nourrit aux mamelles de l’État qu’elle a néanmoins toujours cherché à déboulonner (voir acheter ses représentants via des votes leur offrant ainsi de prochaines rentes de situation; le déclin assumé de nos classes dirigeantes).
Du côté des extrémismes (ai-je dis les sociopathes?) – les ultra-libéraux [et libertariens [via le volet des “sciences comportementales”] n’espèrent-ils pas bâtir toute une “armée d’idiots utiles” afin de démolir les dernières digues s’opposant à leur soif irrationnel de pouvoir et d’argent vs l’Intérêt général et le Bien commun, leur laissant ainsi ce champ libre aux opportunités d’un bénéfice sans commune mesure? Un choix qui pourrait vite être arbitré pour l’Homo-politicus [dénué de tout scrupule) en mal de rentes de situation dans un “monde fini”? Encore une question qui fâche mais qui a le mérite d’être posée en référence à Paul Valéry qui écrivait – en 1931 – “Le temps du monde fini commence”. Et si cette nouvelle croisée des chemins que l’Intelligence Artificielle va induire, jouant à n’en point douter un rôle disruptif dans nos sociétés “modernes”, souhaitons au moins que l’Intérêt général et le Bien commun [pour ce qu’il en reste du moins à l’aune des dettes publiques] ne soient pas jeté aux gémonies à cause d’une hallucination collective. Suis-je déprimant? Peut-être, tout est question de point de vue. Suis-je un pessimiste? Peut-être que oui, si l’on considère que les pessimistes sont d’anciens optimistes avec beaucoup d’expérience.
* Et non, je n’ai pas eu recours à ChatGPT pour mon intervention, alors les éventuelles coquilles me sont directement imputables *