
$ : à tout seigneur, tout honneur
15 août 1971: certainement la date la plus importante du XXème siècle dans le domaine économique et financier, qui marqua la décision du Président américain Nixon de supprimer la corrélation du dollar à l’or. Prise un Dimanche soir, avant l’ouverture des marchés, elle inaugura une ère nouvelle : celle d’une monnaie soutenue par la seule crédibilité de la Trésorerie et donc du gouvernement américain. Les beaux jours des métaux précieux étaient donc révolus car l’étalon-or avait été instaurée par les nations occidentales un siècle environ avant cette volte-face. Du jour au lendemain, ce qui fut jusque-là mesuré vis-à-vis de l’or – c’est-à-dire tout ! – le fut désormais vis-à-vis du dollar américain. Le billet vert fut donc propulsé comme le nouvel or. En termes macroéconomiques, le déficit fédéral US évolua de 2.1% du P.I.B. national à environ 13.5% de nos jours.
Restons précisément «macro» car cette bombe larguée unilatéralement (comme d’habitude…) par les américains se doit d’être analysée dans le contexte de ce pays qui tentait péniblement de sortir de la très impopulaire guerre au Vietnam. Une quinzaine des conseillers les plus proches du Président Nixon exercèrent sur lui une pression intense dans sa résidence de Camp David durant ce week end fatidique. L’intégralité de sa politique et de son programme économiques furent donc passés par pertes et profits car – selon les termes mêmes du Secrétaire d’Etat au Trésor de l’époque John Connally à des journalistes immédiatement après l’intervention de son Président- : Il faut baiser les étrangers avant de se faire baiser par eux («screw the foreigners before they screw us.») … avant de reconnaître que «nul n’est certain de ce qui va à présent se passer».
Accompagnée d’une augmentation immédiate de 10% des droits de douane, cette décision ébahit le monde – et principalement les alliés et partenaires des Etats-Unis. Non seulement le dollar n’était-il plus convertible contre de l’or, mais les USA renouaient avec le protectionnisme, même si les esprits cyniques de l’époque avançaient un fait qui fut du reste confirmé par les historiens de l’économie : cette augmentation des droits de douane US n’était en réalité qu’une manière de faire pression sur les européens pour leur faire accepter cette dévaluation de facto du dollar. S’ensuivit ainsi une vague de dévaluations en cascade des monnaies européennes, dont celle de la lire italienne ayant fait dire à Nixon son fameux : «je n’en ai rien à foutre de la lire» (“I don’t give a shit about the lira”.) La monnaie américaine fut à nouveau dévaluée en 1973 et, parallèlement, la quasi-totalité des monnaies importantes se mit à flotter, non sans provoquer à un certain point une chute de 50% du dollar américain contre le yen et le deutschemark.
Il devait pourtant rester au cœur la finance mondiale – ce dollar -, véritable et unique pierre angulaire de l’architecture financière universelle, en dépit de l’abandon de l’étalon-or, envers et contre toutes les prophéties qui annonçaient (et qui annoncent toujours) la fin de son règne. Et, de fait, il jouit d’une appréciation au début des années 1980 telle qu’il fallut en septembre 1985 les Accords internationaux dits du «Plaza» pour enrayer sa hausse. Il connut une autre flambée vers la fin des années 1990. Puis, contrairement à toutes le prédictions, la période extraordinairement troublée de la faillite de Lehman et de la crise des subprimes et du crédit des années 2007-2009 lui permit de se renforcer. Il est l’astre autour duquel toutes les autres monnaies du monde (y compris l’euro) gravitent.
En effet, le billet vert n’est pas que la principale monnaie du commerce international. Le dollar n’est pas que la première monnaie au sein des réserves des banques centrales. Sa présence et son usage permettent surtout de mettre l’huile dans les rouages de l’ensemble des économies à travers le globe : il est la liquidité à lui seul. Sa capacité d’attraction est si irrésistible que le monde entier, ses Etats, ses institutionnels et ses familles veulent tous épargner en dollar : ce qui force littéralement la Réserve Fédérale à en créer encore et toujours plus pour satisfaire la demande, voire la frénésie, mondiale. Tout le monde en veut : de la plus classique des banques centrale aux groupuscules terroristes qui paradoxalement jurent de détruire le «Grand Satan»… Bref, l’Amérique imprime des dollars – un peu pour elle certes – mais énormément pour le reste du monde. Ce faisant, elle conforte et souvent abuse de sa position hyper prédominante en imposant des sanctions impossibles à contourner à qui ose la défier. Surtout, elle a instauré la bombe thermonucléaire financière contre laquelle nul recours n’existe : l’extraterritorialité.
Une menace pointe cependant à l’horizon, à une échéance relativement proche même : celle de la révolution digitale qui – immanquablement –déstabilisera (aussi) le dollar. L’ère des monnaies nationales semble devoir toucher à sa fin car celles-ci seront progressivement supplantées par des monnaies privées qui, elles, seront édifiées – non plus sur la crédibilité de tel ou de tel pays – mais qui seront générées et construites à base d’informations.
Big brother is watching you… Pour ceux qui veulent retrouver la liberté, il faudra se débrancher de la matrice artificielle.
https://www.france24.com/fr/20201012-les-ambitions-démesurées-de-la-monnaie-numérique-chinoise
Crise du covid ou accélération de la mise en place du monde de dématérialisé ?
La prison de la matrice artificielle :
https://www.franceinfo.fr/internet/reseaux-sociaux/facebook/un-ancien-cadre-de-facebook-defend-a-ses-enfants-de-toucher-a-cette-merde_2511123.html
La véritable menace qui pointe à l’ horizon monsieur Santi :
La relativité superlumineuse a permis d’ établir un modèle de conscience qui correspond au modèle de conscience matière tel qu’ il a été conçu par John Eccles et par Karl Pribram suivant lequel le cerveau ne fait que décoder les informations qui sont situées ailleurs sur un autre plan. Le champ tachyonique, ou superlumineux, serait le domaine d’ élection de l’ information. Le champ morphogénétique ou morphobiotique ressemble à la définition de l’ âme que donnait Saint Thomas d’ Aquin. Une seconde propriété du champ tachyonique est que tout ce qui va se passer dans le domaine supralumineux s’ effectuera à énergie nulle. Les physiciens nous expliqueront que l’ on remplace l’ énergie par l’ impulsion.
” Dans le futur, on éliminera l’ âme par des médicaments. Sous prétexte d’ un ” point de vue sain ” se trouvera un vaccin par lequel l’ organisme humain sera traité, dès que possible, éventuellement directement à la naissance, afin que l’ être humain ne puisse développer la pensée de l’ existence de l’ âme et Esprit. Aux médecins matérialistes sera confiée la tâche d’ éliminer l’ âme de l’ humanité. Comme aujourd’hui, on vaccine les gens contre cette maladie ou telle maladie, ainsi à l’ avenir, on vaccinera les enfants avec une substance qui pourra être produite précisément de telle sorte que les gens, grâce à cette vaccination, seront immunisés d’ être soumis à la folie de la vie spirituelle. Il serait extrêmement intelligent mais il ne développerait pas de conscience et c’ est le véritable objectif de certains cercles matérialistes ( marxiste ). Avec un tel vaccin, vous pouvez facilement faire en sorte que le corps éthérique se détache dans le corps physique. Une fois le corps éthérique détaché, la relation entre l’ Univers et le corps éthérique deviendrait extrêmement instable et l’ homme deviendrait un automate, car le corps physique de l’ homme doit être poli sur cette terre par une volonté spirituelle. Alors le vaccin devient une force arymanique; l’ homme ne peut plus se débarrasser d’ un sentiment matérialiste donné. Il devient matérialiste de constitution et ne peut plus s’ élever au spirituel “.
( RUDOLF STEINER ( 1861 – 1925 ), dans la chute des esprits des ténèbres ).
3. LA JUSTICE ORIGINELLE
” L’ homme en sa création ( conditio ) fut institué par Dieu de telle sorte que son corps soit absolument soumis à son âme, les puissances inférieures soumises à la raison sans résistance et la raison elle- même soumise à Dieu. Du fait même que le corps était totalement soumis à l’ âme, il s’ en suivait qu’ aucune passion ne pouvait survenir dans le corps qui eût été contraire à la domination de l’ âme sur lui ; il en résultait que ni la mort ni la maladie n’ avaient de place en cet homme. En outre, du fait de la soumission des puissances inférieures à la raison, une parfaite tranquillité d’ esprit régnait en lui, car sa raison n’ était troublée par aucune passion désordonnée. Enfin, puisque sa volonté était soumise à Dieu, l’ homme rapportait toutes choses à Dieu comme sa fin ultime ; ce en quoi consistaient sa justice et son innocence.”
( Page 205, THOMAS D’ AQUIN, Sermons sur les dix commandements, éd du cerf ).
Il faut protéger l’ innocence des petits enfants contre le vaccin sinon nous allons détruire le genre humain.
Le variant Delta représenté par un triangle dans l’ alphabet grec :
https://www.jupimages.net/viewer.php?id=21/48/f187.jpeg
…
https://www.zupimages.net/viewer.php?id=21/48/f187.jpeg
La connaissance.
Le serpent du jardin d’ Eden est la symbole de la gnose :
” Adam a transgressé la loi, mais de quel péché le reste du monde s’ est- il rendu coupable ? Nous savons que toutes les créatures ne sont pas venues manger de l’ arbre défendu. Mais voici ce qu’ il en fut : Lorsque l’ homme se leva debout, toutes les créatures, le voyant, prirent peur et le suivirent comme des esclaves (…) Ainsi Adam vacillait sans fin d’ une teinte à l’ autre, du bien au mal, de l’ agitation au repos, de la rigueur à la miséricorde, de la vie à la mort : jamais content en aucune chose à cause de l’ influence de cette autre région qui est appelée ” l’ épée flamboyante qui tournoie de tous cotés ” (Génèse III, 24) – d’ une direction à l’ autre, du bien au mal, de la miséricorde à la rigueur, de la paix à la guerre. Mais le Roi suprême, par compassion pour ses oeuvres, les mit en garde disant : ” Mais de l’ arbre de la connaissance du bien et du mal, tu ne mangera point ” (Génèse II, 17) “. Page 108-109, Le Zohar, le Livre de la splendeur, Gershom Scholem, éd Sagesses.
” Si un homme considère la Torah comme un simple recueil d’ histoire et de questions quotidiennes, malheur à lui ! ” Rabbi Siméon.
L’ épée flamboyante qui tournoie :
La mission divine de la France :
” Je n’ ai pas seulement l’ espérance, j’ ai la certitude du plein triomphe ! Je suis affermi dans cette certitude par la protection des martyrs qui ont donné leur sang pour la foi et par l’ intercession de Jeanne d’ Arc, qui, comme elle vit dans le coeur des Français, répète aussi sans cesse au Ciel la prière : Grand Dieu, sauvez- la France ! ”
Saint Pie X lors de la béatification de la Pucelle.
” Si l’ Europe c’ est l’ Europe de Bruxelles, nous sommes mal barré, mais si l’ Europe c’ est l’ Allemagne, alors nous sommes encore plus mal barré ! ” Ettore Gotti Tedeschi.
…
https://odysee.com/@Covidbel:5/74c0f0:d
De la matière à la virtualisation.
La nouvelle ère numérique du big data et de l’ open data recèle la nouvelle révolution de XXI ème siècle qui s’ inscrit dans la dématérialisation. L’ élaboration des actions conceptrices dans l’ immatérialité des organisations sont le pur produit d’ un collectivisme qui s’ appuie sur la puissance numérique des GAFA.
https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000000908/collectivisation-et-modernisation-de-l-urss-le-premier-plan-quinquennal-muet-html
Ah là là mon Boris ! ça doit pas être triste lorsque tu fais la fête avec mon Emmanuel !
https://www.unilad.co.uk/news/evidence-of-cocaine-found-in-toilets-near-boris-johnsons-office/